vendredi 27 décembre 2013

Le changement, c'est nazi



A la faveur d’un retentissant procès, nous apprenions il y a quelque temps, que la quenelle dieudonienne n’a rien de commun avec le salut nazi. Les nazis se féliciteront sans doute de n’avoir pas été plagiés par un demi Camerounais. On respire du côté du Berghof.

Cette semaine, rebondissement : le salut nazi serait bien de retour en France, mais cette fois, il n’est pas porté par une obscure officine burlesque ayant pignon sur ruelle du côté de la Bastille, non : par le parti socialiste !

On le sait, soucieux de préserver le corps qui l’héberge, l’esprit humain use de feintes pour gommer les plus fortes souffrances endurées. A l’aide d’artifices chimiques, il efface les grands traumatismes pour que la vie puisse continuer et que le corps ne se remémore pas trop les douleurs du passé. Ainsi, la plupart des Français ont oublié le signe de ralliement des socialistes français durant la dernière campagne présidentielle, diffusé dans un clip incroyable dont nous tirons les images ci-dessous. Ce geste, nous devons le leur rappeler, bien qu’il rappelle lui-même les heures les plus vert-de-gris de notre histoire.


Sous un grotesque de façade, ce geste prétendait masquer son évidente signification : le salut nazi. Pire ! le double salut nazi, celui de l’élite appelée à gouverner, et qui est au credo nazi ce que le double cheeseburger est au panini. Le salut à deux mains, comme un applaudissement naziabond ! Vous me direz : les mains sont certes à plat, mais les bras ne sont pas tendus. Raison de plus : c’est un salut qui avance masqué. Le bras se tendra, croyez-le bien, au moment voulu.



Grâce à un procédé scientifique, naturellement vierge de toute idéologie et de tout préjugé, nous avons pu reconstituer la signification réelle de l’étrange salut socialiste. Les images parlent d’elles-mêmes, font froid dans le dos, et inversement. Certains analystes avancent que l’attaque menée par le parti socialiste contre l’humoriste Dieudonné s’apparenterait tout simplement à une tentative de museler la concurrence ! Pour occuper seul le terrain de la subversion fétide, le Parti aurait lancé son ministre le plus belliqueux contre le nid d’aigle de la Main d’or.


Interrogé ce matin à la sortie de la mosquée, Benjamel Nathanyoupi aurait déclaré : « entre François et moi, c’est fini ! »